Le baiser de la Muse
Baroque comme la polyphonie de Bach et le style du même nom, fait de faux-semblants et de trompe-l’œil, cet essai, déguisé en fausse autobiographie à trois voix, avec l’alibi d’une intrigue policière, se découvre comme des poupées russes au milieu de miroirs où « la réalité se métamorphose à la lumière de ses propres reflets ». Réflexion sur l’écriture et la vocation d’écrivain, il se veut aussi un hommage aux professeurs capables de susciter des vocations, quelles qu’elles soient.
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